DISCOGRAPHIE

Avec plus de trente albums à son actif, la violoncelliste et cheffe d’orchestre Ophélie Gaillard est acclamée par la critique internationale pour la richesse de ses enregistrements, qui couvrent un vaste répertoire, de Bach à Britten, de Strauss à Fauré, de Vivaldi à Hersant. Elle totalise des millions d’écoutes en streaming, explorant des univers musicaux variés, allant de la musique baroque, classique, romantique et moderne aux musiques populaires latino-américaines.

Plus de 30 albums

Dont 8 avec l’ensemble Pulcinella orchestra

Alvorada

Aparté, 2015

« Les rencontres multiples de l’album inspirent à Ophélie Gaillard un jeu à l’imagination parfois débridée, souvent dans la demi-teinte, voire la nostalgie. Le périple n’est pas seulement exotique, il est aussi intérieur ; ce que l’archet subtil dévoile ressort de l’émotion pure.»
Diapason, mai 2015

Brahms

Aparté, 2013

« Ophélie Gaillard la violoncelliste aux milles projets qui semble voyager de répertoire en répertoire entrerait-elle ici sur des terres plus périlleuses ? Parce qu’elle nuance dans les deux sonates de Brahms un son qui lui ressemble, clair et proche d’une voix humaine, et que certains passages sont d’une belle intensité, on garde après l’écoute un agréable souvenir. »
Diapason, juin 2013

Schumann-Liszt

Aparté, 2012

« Ophélie Gaillard interprète le Concerto de Schumann avec beaucoup de lyrisme, utilisant un beau vibrato au service d’une émotion sincère. »
Classica, juin 2012

Cello Suites

Aparté, 2011

« Certains font des Suites pour violoncelle de Bach une quête d’absolu dans une démarche solitaire quasi mystique. Ophélie Gaillard préfère tisser avec et entre elles un rapport plus sensuel et intimiste, presque trivial, mettant en avant le rythme des danses et l’intensité émotionnelle. »
Olivier Olgan, Le Figaro Magazine, mai 2011

Chopin

Aparté, 2010

« Intelligence d’une pensée musicale que sous-tend une maîtrise ultime du clavier. Poésie d’un archet qui regarde vers l’absolu et l’inédit. Plus d’un atout jalonne ce cheminement original, qui fait revivre les pages les plus sensibles du compositeur romantique.»
T.H, Figaroscope, février 2010

Dreams

Aparté, 2009

« Le titre résume la teneur de l’ouvrage. Dreams est une illusion, presque une utopie : la rencontre d’un producteur à succès de la pop, Craig Leon, avec l’une de nos jeunes violoncellistes les plus fines, la pluridisciplinaire Ophélie Gaillard. Ensemble, ils revisitent les plus beaux airs du répertoire, les plus envoutants aussi, arrangés pour violoncelle solo et… orchestre philharmonique. »
La Vie, novembre 2009

Fauré – Ambroisie

Naïve, 2005

Réunir toutes les pièces de Fauré écrites originellement pour violoncelle et piano, c’est un rêve qui prend forme dans cet album de très belle facture. Elegie, Romance, Papillon et Sicilienne sont ici lumineuses et riches de virtuosité. […] Le travail sur le phrasé et les nuances du pianiste Bruno Fontaine laissent s’imposer la ligne de basse chère au compositeur. »
Pianiste, janvier 2005

Antonio Vivaldi

Ambroisie-Naïve, 2004

« (…) A ces tempos vivants, voire osés, dans lesquels beaucoup se seraient mis en danger… (…) On ne saurait conclure sans un dernier coup de chapeau à chacun des membres, sans exception, de l’orchestre qui accompagne ces deux talentueuses artistes. »
Classica, mars 2004

Don Quixote

Aparté, 2018

Il n’est pas si commun pour un interprète d’avouer le peu de sympathie que la personne du compositeur lui inspire. C’est pourtant ce que fait Ophélie Gaillard en constatant, dans le texte de présentation de ce disque, l’écart entre l’homme souvent méprisable qu’était Richard Strauss et la musique admirable qu’il était capable d’imaginer (mais ne pourrait-on en faire autant pour beaucoup de grands musiciens ?).
Pablo Galonce, Musikzen, mai 2018

Exiles

Aparté, 2015

Héroïque dans les passages vigoureux, Gaillard chante le thème lyrique avec une éloquence quasi vocale. Bien que légèrement à l’arrière-plan, l’orchestre sobre et clair contribue à la réussite de cette gravure de premier ordre ».
Diapason, Mars 2017

AVEC PULCINELLA ORCHESTRA

Napoli!

Aparté, 2023

Le violoncelle d’Ophélie Gaillard – qui dirige son ensemble de l’archet – s’abreuve à ses multiples sources, entre populaire, lyrique, profane ou sacré. Des inédits de Porpora, Bonno et Barbella confirment que Naples n’a pas fini de livrer ses secrets… Entrez dans la danse ! – Trophée Radio Classique

A Night in London

Aparté, 2022

« Elégance rythmique, lyrisme radieux et précision d’articulation jusque dans les traits les plus fougueux et les cadences les plus époustouflantes » – 5 diapasons, Diapason 2022

Carl Philipp Emmanuel Bach 2

Aparté, 2016

« Passionné et renversant d’intelligence, le Pulcinella Orchestra poursuit son exploration du répertoire du plus fameux « fils de » du XVIIIème siècle. »
Sophie Bourdais, Télérama, mai 2016

Carl Philipp Emmanuel Bach

Aparté, 2014

« Un album jubilatoire. Un orchestre épatant et une prise de son à couper le souffle »
Diapason, Diapason d’or, mai 2014

Bach, Arias

Aparté, 2012

« Sandrine Piau starts off with a nicely decorated account of My Heart Ever Faithful… Gaillard plays admirably… Good support and lovely obbligatos from Pulcinella. »
Richard Lawrence, Gramophone, avril 2013

Boccherini, Madrid

Ambroisie-Naïve, 2007

« La passion, le goût du risque que la violoncelliste Ophélie Gaillard a souvent exprimé prend dans son nouvel enregistrement les couleurs de l’Espagne. Boccherini-Madrid est en tout point une réussite originale. »
Michèle Fizaine, Midi Libre, novembre 2007

Vivaldi, Complete cello sonatas

Ambroisie-Naïve, 2005

« Il ne fait aucun doute que l’artiste a cerné toute la diversité de ces neuf sonates pourtant toutes construites sur le même modèle de la sonata da chiesa. Des préludes orchestraux aux danses stylisées, les musiciens de Pulcinella trouvent toujours le ton juste. Le jeu d’Ophélie Gaillard est avant tout concentré et élégant, finement nuancé. »
Philippe Venturini, 4* le Monde de la Musique, juillet 2006

Boccherini

Aparté, 2019

« Très émouvant et d’une grande délicatesse, un Stabat Mater datant de 1781 éclaire un autre versant, plus vocal et sacré, de l’écriture boccherinienne, dans une première version très chambriste pour quintette à cordes et soprano soliste (une mouture plus tardive mobilisera trois chanteurs). »
Sophie Bourdais – Télérama

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